Interview exclusive des envoyés spéciaux de l’A.R.L.L. !

Retour
25/03/22

Pourquoi êtes-vous devenu journaliste Quentin Warlop ?
Est-ce un événement précis qui a guidé votre choix de carrière ?
Vous intéressiez-vous à l’information lorsque vous aviez notre âge ?


Q.W. : « A l’âge de 9 ans, je savais déjà que je serais journaliste. Au départ, je voulais m’orienter vers le journalisme sportif parce que je faisais partie de l’équipe cycliste Lotto. J’étais en deuxième année à l’université quand Rodrigo Beenkens, « le Monsieur Vélo » de la R.T.B.F. m’a proposé un stage, il avait besoin d’un assistant. J’ai évidemment accepté, mon choix était fait. A votre âge, j’aimais écouter la voix chaude de Pierre Istace ,j’ attendais chacune de ses interventions. »


Au début de votre carrière, vous deviez être stressé lorsque vous passiez à l’antenne et aujourd’hui ?


Q.W. : « Oui, j’étais stressé et je le suis encore actuellement. Nous ne sommes jamais à l’abri d’une erreur, d’un problème technique, d’une mauvaise liaison…pourtant les moyens dont nous disposons ont évolué . Ce sont les aléas du direct ! »


Recevez-vous parfois des critiques lors de vos reportages ?


Q.W. : « Oui, souvent je reçois des messages dans lesquels les gens me reprochent de ne pas avoir parlé assez de ceci ou de cela, d’avoir oublié telle ou telle chose, les critiques font partie du métier. »


Vous couvrez les élections françaises, comment vous organisez-vous ?


Q.W. : « Je fais chaque mardi vers 7 heures 40, une petite chronique intitulée VOIX DE FRANCE sur La Première, en radio et je prépare des podcasts d’une vingtaine de minutes à écouter sur Auvio.


Bientôt, je pars une dizaine de jours ,avec un monteur et un chauffeur, pour sillonner les grandes villes françaises afin de recueillir les impressions. »


 Où voudriez-vous être actuellement ?


Q.W. : « En Ukraine, bien sûr mais je suis sur un autre projet que je dois mener à bien. »